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Comment espérer après la guerre?

On peut encore entendre le bruit des bombes. En Syrie, des poches de guerre persistent. En Irak, les traces du groupe État Islamique sont là. En Irak et en Syrie, chaque famille chrétienne a vu un proche tué ou blessé.

Mais partout où la paix est revenue, on entend plutôt le bruit des pelleteuses et des marteaux piqueurs…

Les chrétiens reconstruisent leur vie et leur pays, l’espoir et la foi chevillés au cœur. Grâce à la campagne «Espoir pour le Moyen-Orient», lancée dès 2015, beaucoup se sont sentis soutenus. Nous continuons à les aider en leur offrant la possibilité de lancer leur propre commerce. Allons à leur rencontre.

Avec votre aide, ces familles recommencent à gagner leur vie en ouvrant des boutiques ou en créant de petites entreprises, soutenues par des églises qui fonctionnent comme Centres d'espoir.

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Syrie: une boutique de chaussures pour repartir du bon pied

Avec votre soutien, dans toute la Syrie des familles chrétiennes recommencent à gagner leur vie. Visite à la famille Dekki qui vient d'ouvrir un magasin de chaussures grâce à un micro-crédit. Lire la suite de l'histoire >

Syrie: ce travail qui leur permet de rester

Il est très difficile pour les chrétiens déplacés de retrouver un travail en Syrie. Antonioles et Tomas ont chacun pris un nouveau départ grâce à nos Centres d'Espoir.

Lire le témoignage
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Avec votre aide, ces familles recommencent à gagner leur vie en ouvrant des boutiques ou en créant de petites entreprises, soutenues par des églises qui fonctionnent comme Centres d'Espoir.

Vartouhi a pu rouvrir son restaurant

Vartouhi (à droite) est veuve. Avant la guerre, elle avait un petit restaurant. Après la guerre, elle n’avait plus les moyens de relancer l’activité. Elle a reçu de quoi réparer la cuisine et acheter les ustensiles nécessaires pour rouvrir sa boutique de restauration à Alep. L’entreprise connaît un franc succès et emploie une jeune chrétienne, Tamar.

«Je suis tellement reconnaissante pour cette aide!»

George a lancé son atelier de réparation

À cause de la guerre, George (54 ans) a perdu son travail d’électricien. Il a dû partir seul à l’étranger pour faire vivre sa famille. Grâce à ce projet de magasin-atelier d’électricité, il est revenu en Syrie. Avec l’aide financière de l’église, il a acheté la marchandise dont il avait besoin. Surtout, il a retrouvé sa femme et ses trois enfants. 

«Je remercie ceux qui ont été si bons pour nous.»

Rober exerce à nouveau son métier de coiffeur

Rober et sa famille s’étaient réfugiés au Liban pour fuir les bombardements d’Alep. À leur retour, son salon de coiffure était détruit. Avec le soutien de l’église, Rober a pu le restaurer et rouvrir sa boutique en février 2019. Les résultats sont au-delà de ses attentes. Il a déjà beaucoup de clients et il a embauché un apprenti.

«Ce commerce me permet de nourrir ma famille.»

Shadia a sa propre pharmacie

Après avoir reçu un microcrédit, Shadia a pu ouvrir sa pharmacie à Mashta Al Helou. Cette jeune chrétienne diplômée de 24 ans travaille dur. La pharmacie est ouverte de 9h à 21h tous les jours sauf le dimanche.  Shadia subvient ainsi aux besoins de 5 personnes dans sa famille et permet à la population de pouvoir se soigner.

«Dieu m’a aidée à persévérer.»

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Week-End Annuel

Elia a connu la guerre et la persécution. Issue d’une famille salafiste, sa vie était toute tracée: il devait devenir imam et faire appliquer la charia. Mais sa conversion au christianisme a chamboulé tous les plans de sa famille. Son propre frère a menacé de le tuer. Rejeté par sa communauté, il n’a jamais perdu espoir. Malgré plusieurs séjours en prison en raison de sa foi, il veut continue à servir Christ dans son pays.

Venez écouter le témoignage poignant et plein d’espoir d’Elia.

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