Il accuse M. Sarfaraz de l’obliger à apprendre par coeur des versets du Coran en le menaçant de sanctions. Suite à cette plainte, la police a découvert que d’autres employés chrétiens de l’hôpital ont aussi souffert des agissements de M. Sarfaraz.

Le ministre de la Santé pourrait suspendre M. Sarfaraz de ses fonctions. En attendant que cette affaire soit réglée, Marshal Ashiq doit rester chez lui par mesure de sécurité. La Constitution pakistanaise affirme que personne ne peut être forcé à se soumettre à des pratiques religieuses allant à l’encontre de ses convictions.